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De Tir na mog à L’Irlande.

3 septembre 2007

Ainsi fini ce qui se devait de commencer

Les bonnes choses passe le plus souvent trop vite, si vite que l’on en souffre parfois, le vertige me prend et je me rend compte qu’hier encore je ne me doutai pas encore partie et qu’aujourd’hui je le suis. La vie est ainsi faites de tas de voyages et d’autant de rêve exaucé, Est ce que le voyage était au dessus de mes espérance, ai-je suffisamment profité, vivre ais je un jours la bas ? Toutes ces questions méritent une réponse et ainsi la meilleurs façon d’y répondre c’est encore de repartir.

Mon histoire finie là ou elle à commencé à Heatrow, le soleil se couche et les magasins se ferment un par un. Ici ne règne que la fatigue d’un trop long voyage et l’espoir de retrouver sa chaumière après une dure épopée.

J’arrive donc au bout de la mienne, ne fussent t’elle pas mon épopée mais celle d’un homme et d’une nation, l’acteur à sa manière d’une perpétuelle histoire en mouvement, bien mince homme d’une si grande affaire.

Ainsi comme dirai un de ses illustres inconnus, mademoiselle….

« J’y suis j’y reste… »

So long.

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3 septembre 2007

Et si on parlait de boisson ?

Concernant la vie des quotidiennes des irlandais peu de chose la différencie aujourd’hui de la notre. En revanche l’Irlandais et reconnaissable par son regard franc-comme énoncé précédemment- et par sa capacité à entamé avec n’importe qui n’importe quel conversation, sur le temps, sur le dernier match, sur l’actualité tout est bon à prendre pour entamer un semblant de conversation. Les rues sont donc étonnement animé à Cork et dans les environs. De plus l’Irlandais et de nature très serviable, si votre tête lui revient sans cela il faudra passer votre chemin sans insisté davantage, ce qui s’avère, expérience parlant, plutôt  rare.

D’autre part les Irish ne craignent pas de s’exhiber dans la rue jouant de la musique, à chaque coin tu apercevra un musicien, classique, jazz, en band, de deux, quatre, seul, débutant, expert. Tout est bon à prendre et les irlandais tiennent bon, la musique joue un rôle de ciment sociale plus fort ici que dans n’importe autre nations, car la musique fut pour les irlandais longtemps leurs seul moyen d’expression face à la domination Anglaise. Aujourd’hui cela reste le passe temps préféré de n’importe quel résident. D’ailleurs je n’ose te rappeler que le symbole de la république d’Irlande est bien sur, la harpe…

De ce fait, le rock reste le style musical le plus plébiscité par les irlandais avec le blues et le folklore locale qui mérite si l’occasion t’es présenté d’écouter au moins 3 minutes.

Tu connais U2, j’en suis sur, question bête sans conséquence j’espère, par contre tu ne connais peut être pas Rory Galhager, et Garry Moore des Thin Lizzy, se sont tous des irlandais pur souche et les ambassadeurs aujourd’hui de la culture irllandaise avec La chanson Sunday Bloody Sunday de U2 et Over Hills and far away de Mr Moore reprise plus tard par Nightwish et bien d’autre dont le nom m’échappe.

Malheureusement la nouvelle génération qui forme exceptionnellement 30% de la population-oui oui l’Irlande est le pays le plus fécond, j’expliquerai après pourquoi- s’oriente plutôt vers le RNB et pop américaine, délaissant les musiques folklorique habituel des pub pour s’orienter vers les café dansant puis les boites de nuit. L’aspect ciment social de la musique perd donc son utilité mais après tout cela n’est pas sa première nécessité, la musique ne vit que pour la musique et les émotions qu’elle nos procure, n’est ce pas ?

J’arrive donc au sujet tant espéré du « Pub » qui se prononce Peub littéralement. Le pub est institution ce que

la France

est au café, l’Irlande est au pub et même plus. Le pub est avant tout un lieux de détente autours d’une pinte de Guiness ou autre, mais surtout lieux de rencontre parfois original, inattendue, mais jamais incongrue. L’ambiance est au chaude et coloré et m’apporte la preuve que l’Irlande est bien un pays latin du nord.
Au pub plusieurs règle :

1)      Ne jamais parlez politique et donc de religion puisque tu l’as vu précédemment tout est intimement lié en Irlande.

2)      Les consommateurs de boisson forte seront placé aux extérieurs du pub, raison sanitaire plutôt clair.

3)      Il est demandé de respecter son voisin, ainsi que les règle de politesse et sanitaires élémentaire

4)      Il est demandé aux demoiselles de ne pas exhiber leur attributs trop explicitement (j’imagine que cela doit être assez intéressant de se rendre dans un pub vers 00h peu de temps avant la fermeture)

5)      Enfin Il est demandé au personnes potentiellement violentes de s’abstenir de tout mal être.

Bien que cela te semble plutôt cynique j’ai constaté que jusqu'à 23h tout cela était respecté après je ne serai t’en dire plus je n’y était plus, mais soyons fou admettons que cela le soit.

Nous arrivons aux boissons servis généralement dans un pub, elles sont varié, du café whisky à la fameuse bière Guinnes en passant par tout un panel de whisky (paddy, scotch etc..) et différentes autres bière, ainsi bien sur que du rhum et j’en passe.

3 septembre 2007

Un autre interlude

En route mon amour.

Deja trois cents hiver

Que vous nous torturiez

Sur nos propres terres

Sans même vous en souciez

J’aime te raconter, l’histoire romantique

D’une révolution, de deux musiciens

Et d’un poète, oui d’un poète.

***

Oh Oh, prend donc une bouteille

La route est longue

Elle n’en vaut plus la peine.

Oh Oh prend donc ce fusil

La guerre s’éveille

Derrière cette colline.

***

Animez d’un sombre désir.

Et sans un mot de trop,

S’élancèrent pour brandir

Un simple drapeau.

Les belles histoires ne durent jamais.

Parce qu’ephemére, vous les oubliez.

Oh si tu savais, oui si tu savais.

***

Oh Oh, prend donc une bouteille

La route est longue

Elle n’en vaut plus la peine.

Oh Oh prend donc ce fusil

La guerre s’éveille

Derrière cette colline

***

Oubliez de tous,

Il s’en allèrent

S’élancer d’une foi vaine

Qui les trouvèrent.

Ne pleure pas jeune patriote

Cet guerre n’est pas la tienne

Ne pleure pas, rentre chez toi

Demain la mort te prendra.

***

Oh Oh, prend donc une bouteille

La route est longue

Elle n’en vaut plus la peine.

Oh Oh prend donc ce fusil

La guerre s’éveille

Derrière cette colline

3 septembre 2007

la fin d'un éternelle recommencement ?

La guerre finie, L’Irlande n’inspirait pas encore à la liberté et à la paix, les 7 comté du nord dont l’Ulster au main de protestant fort puissant décida de se rattacher à la couronne Anglaise au grand malheur de ses républicain catholique, ainsi continue un effroyable guerre civile dont on retiendra les épisode « bloody Sunday », les murs tagué du Derry « Now you go in the Free Derry » ou la police ne se rendait que pour affronter une population locale barricadées et armées par l’IRA et jusqu'au dents.

Cet épisode de violence dura plus de 50 ans jusqu’en 92 ou même les plus fanatiques groupuscules se rendirent à l’évidence que plus rien n’était possible par les armes, que la haine n’était plus qu’un outil de destruction mutuel et que surtout leurs enfants ne connaissaient depuis leurs naissance que la violence et la mort.

Un cessez le feu fut prononcé et L’ira deposa les armes peu de temps plus tard. Aujourd’hui la paix regne à Belfast, mais l’amertume des nouvelle generation est perceptible, amertume contre L’angleterre, responsable principal de cet situation évidente, amertume contre leurs propres freres du nord qu’il ne comprennent pas, et amertume contre tout ce qui a ruiné leurs pays jusqu’au sang.

On comprend aujourd’hui leurs volonté d’adherer à l’Union Europeenne, opportunité d’indépendance. En ces temps de relative prosperité retrouvé, les irlandais semble etre les seuls à remercier une europe qui leurs à tendu la main, et cela je crois est touchant, car de nos jours qui remercie lorsqu’on lui tend la main ?

Voilà qui est dit concernant leurs histoires, car il n’est aucune nation sans histoire et aucunes histoires sans nations, c’est ainsi et pas autrement.

3 septembre 2007

Pour ne devenir rien...

Ainsi un nouveau siecle commence en Irlande et en cette froide soirée de decembre 1899 personne n’ose imaginer comment le monde va s’enfoncer dans l’horreur, et pourtant cela se fera….

Le monde change et les mentalités aussi, mainteant les nationalistes ne repousse pas la lutte armée et un fossé se creuse entre les protestant du nord-est et les catholiques de l’ouest de l’Irlande. La creation d’une milice protestante à Ulster va déclencher un ftale engrenages vers la guerre ainsi se cree en reponse  une milices irlandaises catholique. Bien sur ce qui est le malheur de certain est souvent le bonheur d’autres et en 1916 alors que L’Angletterre se trouve enfoncer dans la grande guerre, Quelques battaillons de miliciens irlandais installe leur QG à Dublin et prononce l’independance de

la Republique D

’Irlande. De ce faite la révolution prendra le nom de « révolution des poetes » simplement parce que dans la salle se trouvait à ce moment-ci un joueur de cornemuse et trois poetes.

Les révolutions les plus romantiques sont parfois les plus inopiné n’est-ce pas ? Celle-ci aussi belle fût elle échoua, cinqs jours plus tard lorsque le dernier battaillon rendit els armes davant les baionnettes britanniques.

Les meneurs n’eurent plus que l’opportunité de fuir aux Etat-Unis, les rares parlementaires membre Sinn Féin (parti révolutionnaire siégant à Westminster) qui n’avaient pas participer à l’infortune révolution refuserent de sieger plus longtemps à Londres et fonderent l’IRA.

A priori ce nom semble de rappeler de vague souvenirs d’enfance, tu frissonne à l’égards de ce nom qui sonne comme dangeureusement nationaliste, tu n’as pas tort puisque leurs actes n’est pas défendable, d’ailleurs la violence n’est jamais défendable quelque soit, ne l’oublie jamais. D’ailleurs un illustre Irlandais dit un jour « Le Sang Humain n’est pas un ciment  pour le temple de la liberté » savait-il à quel point il eut raison ?

Je m’égarre et reprend donc quel peu fébrile et tremblant, les évenements prennent don un nouveau tournant, sache tout d’abord mademoiselle qu’IRA veut dire « Irish Republic Army » cela paraît donc un peu plus humain soudain et je pense que cela le fût.

Le gouvernement manqua un fois de plus d’originalité puisqu’il écrasa la guerrilla avec de nouvelles troupes qui devint rapidement impopulaire. Pourquoi ? Chaque Irlandais te dira qu’un membres au moins de sa famille fût membres de l’IRA, ainsi la police luttait contre la population et se comportaiot un fois de plus comme un vulgaire occupant. Attentat et re presaille su succedent donc, il est combien aisé ma chere d’imaginer la situation qu vivait chaque irlandais, dans un pays qui se transformé lentement dans un monde remis en cause par l’attrocité de la 1er guerre mondiale..

En 1921 sentant bien que la situation lui échappe, le gouvernement Anglais décide de negocier avec cette IRA quel n’arrive pas à saisir.

L’Irlande lui semble bien etre un petit coup, deux couteaux, trois petites balles dans le dos…*sourire* De ce fait, l’IRA devient le bras d’une nation qui ne supporte plus l’occupation à la fois Anglaise et Anglicane q’elle subit depuis maintenant mains siecles.

Ainsi, après deux mois de longues négociations, le 6 décembre 1921, un accord est obtenu à l’arraché et ses dans les rues que court Patrick jeune irlandais du south, il fait moins de 10° aujourd’hui mais la joie lui rechauffe le cœur il s’élance le long d’une rue deserte, le long des chantier navales de Cobh, grand batiments de briques rouges et entre dans le premiers pubs qu’il croise, il annonce la nouvelles les joues rouges le teint halé devant des habitués impassible.

« Nous sommes libres » s’écrie t’il essoufflé. Mais que pensa le barman en cet instant je ne saurrait te le dire mais rien n’était gagné, et la guerre ne faisait que commencer…

D’après moi si l’un d’eux aurait su de ce qui allez advenir de l’ile de feu quelques d’annés plus tard, le plus impassible regard fixant le jeune homme serait devenu, un chaude larme de honte et d’effroi.

Car en laissant le choix au six comtés du nord de l’ile, comme celui de Belfast à majorité protestante, de choisir entre le dominion Irlandais et l’Angleterre. Le Royaume-Unis plonge L’Irlande dans une guerre civile plus meurtrière qu’elle ne l’aurait jamais imaginé Michael Collins, héros de la révolution.

Depuis, Patrick devenu membre de L’IRA, tient un fusil à l’angle de Menrion Square, il a pour ordre d’empecher quiconque de franchir le no man’s land qui s’étend devant lui, avec lui d’autres gamins pas plus grand que lui qui tiennent des fusils plus long que. Nous sommes en 1923 et la guerre civile dure depuis un an. « Ceux d’en face sont nos maudit bâtards » pense t’il. Mais ceux d’en face sont devenu autant Irlandais que lui, ô bien sur il sont anglican, leurs ancetres sont d’ancien colons protestant Anglais mais aujourd’hui ils ont tout autan le droit de vivre ici que Patick. Un canon posté deux rue plus loin tonne, il fait maintenant partie du decors. La guerre civile coutera la vie à pres de 1000 irlandais et en blessera plus de 3000 mais cela Patrick ne le sait pas, il ne sait pas non plus que les bougres d’en face ont decidé un assault sur Menrion square, le canon tonne plus fort, et Patrick verse une larme, l’histoire s’arrete ici pour lui et ses amis…

La guerre finira officiellement quelques mois plus tard et aboutira à un éloignement progressif de l’irlande par apport à

la Grand Bretagne.

Le 18 avril 1948, 3 ans apres la seconde guerre mondiales dont l’Irlande ne participa pas, la république est proclamée. Apres 5 ans d’atrocité de guerre, la nouvelles de la création d’une jeune republique en Europe toucha peut être le cœur de certain romantiques et d’une poignée d’artiste, pour le reste elle émut pas le monde outre mesure.

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3 septembre 2007

Le début d'un tout

M’égarant,  je préfère donc continuer ma narration, Plus tard ma chère, de nombreux hommes rejoignerent les vertes prairies d’Irlande lorsque celle-ci devinrent officielement catholique, j’en deduis que les voies du seigneur sont impénétrables puisque l’évangelisation de l’Irlande ce doit à l’existence d'un fils de centurion qui se nomma Patrick, aujourd’hui St-Patrick est bien plus vénéré que Jesus Christ, et d’ailleurs etre irlandais se conjuge avec "etre catholique" je t’expliquerait pourquoi.

Enfin autour de 1300 les Anglais commence à mettre le grains de sel dans la charmante petit ile, en effet Le King Edouard III d’angleterre qui s’inquietait à juste titre de voir ses chevaliers devenir plus irlandais que les irlandais.

Bref commence une vive discrimination edité par « le statut de Killarney », les nazis n’auraient rien inventé, et comme tu voit la discrimination s’accorde un peu pres avec tout les qualificatifs inimaginables.

Plus tard, en 1540, HenriVIII décide de deposseder de toutes les terres Irlandaises *rire* les irlandais eux même, pour les redistribuer à des colons calvinistes écossais débarqué peu de temps avant sur l’ile. Non Henri n’était pas communiste et tu comprendra pourquoi les Irlandais sont de fervents catholiques, ce fut pour eux un moyen, je suppose, de resister à l’envahisseur calvino-britanique.

J’ajoute qu’il tenta de dissoudre tout les monasteres present sur l’ile et se nomma modestement : Souverain d’Irlande.

Ce qui devait arriver lorsque l’on provoque un peuple de celtes assoifés de vengeance, arriva et Ulster region la plus sinistré par l’invasion colonisatrice, se rebella en 1650 et des poussieres.

Jolie pretexte pour Oliver Cromwell, seul dictateur que connu le royaume britannique, pour envahir l’Irlande avec ses « Ironsides » sympathique troupes de fanatiques Anglais et massacrait à Wexford si je ne me trompe pas la rébellion Irlandaise.

Mais le brave homme leur laissa une chance : l’enfer ou le Connaught (region marécageuse de l’ouest). Ainsi Mr Cromwell fût nommé « le boucher d’Irlande » et son nom est à jamais bannis sur lîle, malheur à qui le prononcera encore aujourd’hui.

Ô ma chere tu peux essayer * rire * je ne m’y risquerai pas.

Afin de parfaire l’humiliation général que doit subir le peuple irlandais, Cromwell publie « the act of settlement » qui oblige les trois quarts des catholiques irlandais à ceder leur bail aux soldats anglais.

Biensur les bougres croivent encore en l’accesion au royaume de Jacque I, premier roi catholique mais cela n’est que poudre aux yeux puis que en ces eaux leurs derniers droits civiles leurs sont retirés, et leur condition reste tres similaire à celle des juifs peu de temps avant la solution finale.

Pour les régisseurs Anglais la question irlandaise est réglé, mais en faite prend les trait d’une belle poudriere en quete d’étincelle…

Au debut du XVII se pose donc donc l’inéquation suivante : catholique 70% de la pop, 5% du territoire nationale irlandais, mais contrairement à ce que tu peux t’imaginer les nationlaistes irlandais se tiendront et Dublin subira une sorte de valse Anglaise, qui supprimera des droits qu’elle avait donné deux ans plutôt, fera des concessions puis deviendra intraitable bref, personnes ne sait vraiment sur quel pied danser.

En même temps les français décident de debarquer en Irlande « c’est bien connue nos amis les froggys ne savent vraiment plus comment nous nuir » dira un parlementaire Anglais. Cela se soldera par une grosse défaite puis que la flotte ne put jamais débarquer, le mauvais temps fût donc la cause de l’échec de 46 vaisseaux et de 130000 hommes, que veux tu mademoiselle l’homme n’a pas encore trouver un moyen de diriger les éléments.

Bien plus encore c’est la crédibilité Irlandaise qui en prendra un sacrée coup et qui se finira par le retrait de proposition d’une assemblée Irlandaise, et qui permettra à l’Angleterre d’assouvir une fois de plus sa souveraineté, ainsi née le Royaume-unis d’Irlande et de Grande-Bretagne.

Le XIX commence pour les Irlandais de facon plutot morose, appauvri par cet acte d’union (cf Royaume Unis d’Irlande….) ils doivent subir en 1845, le mildiou (cochonnerie de virus qui détruit les récoltes de pommes de terres) ce qui provoque apres trois mauvaise récolte succesive un grande famine, le gouvernement n’intervient pas, ou tres peu et assiste impuissant à l’agonie de toute une terre, de tout un peuple.

Ainsi commence les premières émigrations vers l’Amériques notamment ou des milliers d’Irish s’entasseront dans des « cerceuil flottant » (coffin boat).

D’apres certaines sources, 1 émigrés sur 5 ne verra jamais l’Amériques et perrira oublié de tous dans l’immensité que represente l’Atlantique.

Ceux qui arrive à bon port deviendront un sous-prolétariat meprisé et exploité. Ainsi les irlandais m’ont dit avec un morne sourire qu’un irlandais est ensenveli sous chaque traverse de chemin de fer de l’oncle Sam.

Finalement à la fin du XIX la population de l’ile a diminué de moitié. Et l’indifferences dont fait part le gouvernement britanique leur égard ne fait qu’attiser une haine mainteant seculaire.

Mais un détail change la donne mainteant l’Irlande peut compter sur les communauté d’éxilés qui soutiennent leurs luttes pour l’indépendance.

3 septembre 2007

Et de l'histoire des irlandais

  J’en convient, je suis vraiment chanceux, ma famille est un mélange de professionnalisme international et de convivialité familiale, je n’ose d’ailleurs abusé de leur hospitalité naturel, coups de chance supplémentaire et cela s’avéra providentiel le couple avoisinant la quarantaine me sembla être les dignes ambassadeurs les plus loyaux de l’Irlande, je t’expliquerai cela plus tard.

Maintenant je me rend compte à quel point nous Français sommes ignorant de ce qui peut bien nous entourer et comme finalement chaque nation est ignorante dans l’ensemble de ce qu’il peut bien se tramer dans les contrées plus ou moins éloigné de son territoire, le cas de L’Irlande semble être des plus approprié pour démontré ma thèse.

Peu de personnes connaissent l’histoire sanglante de L’Irlande,  « This bloody history to be true. » Et d’après moi c’est une ‘grosse connerie’, car rien n’est plus contemporain et d’actualité que cette histoire là. Même si il est tard, je me dois de te la raconter maintenant.

L’Irlande vois tu, n’a pas toujours était que battus par les vents, au début du Xxeme siècle et bien avant elle fût le repaires de ses pillards des mers que sont les viking, qui bien plus que les premiers pirate d’atlantique furent aussi les premiers navigateurs à découvrir l’Amerique.

Tout cela je me doute bien que tu le sais, j’en vient au fait L’Irlande devint la dernière terre européennes avant les froides terres d’Islande et de nombreux viking devinrent sédentaire.

La loi du business est bien plus forte que celle des mers, c’est un faite.

Bref la première nature des irlandais est donc viking, d’ailleurs tu trouvera chez le gaélique de nombreuses similitudes, tel le langage – J’y reviendrai – mais aussi certaines mœurs et aspects physiques. Premièrement certains ont garder cette couleurs de cheveux rousse voir rouge et cet aspect crépu. D’autre part fait étrange, alors que les britanniques ne sont pas friands de ce doux breuvage qu’est la bière, les gaélique lui ne jure en grande partie qu’avec cela et le whisky, sachant que déjà le viking fut reconnu par les historiens comme un amateur incontesté de bière, il me semble inutile de feindre la relation, j’ajoute qu’il n’est pas nécessaire d ‘être gaélique pour être amateur…

Enfin Il se trouve quelque chose dans le regard des irlandais qui me trouble, rien ne semble les déstabiliser, rien ne semble les effrayer, cette réflexion bien que quelque peu fantaisiste, me semble importante et je ne crois pas me tromper énormément à leurs sujets.

3 septembre 2007

Et des irlandais

Car de L’Irlande il convient de parler de cette fort belle race que forme le gaélique, si messieurs les Anglais vous étés souvent des plus frigides, revers de votre immense sens de la politesse, vous irlandais, vous êtes l’exemple d’une nation des plus chaleureuses.

En effet car m’attendait le mari de ma futur-prof. Le visage je crois tout aussi anxieux que moi, nos regards se croisent puis le mien s’attarde sur une pancarte qui semble évoqué à si méprendre mon nom. Je m’avance et me présente, en deux trois mouvements nous avions fait connaissance et échangions banalité avec aisance et  plaisir.

D’autre part l’Irlandais semble être en accord parfait avec son environnement, ainsi demander quel temps fait’il à n’importe quel irlandais, celui-ci vous répondra avec une inconstance redoutable, un flegmatique « not to bad » ou encore variante oblige « not so bad » .

Mais ce peuple d’anciens vikings et autres réprouvés de la couronne Anglaise – ne t’inquiète pas mademoiselle je te résumerai leurs histoire en temps utiles – sait aussi user d’une certaine ironie qui attire rapidement sympathie, en effet d’un temps que l’on nommerait d’exécrable, ils répondront le sourire aux lèvres « Oh What a lovely day ! »

Ainsi je découvrait un premier aperçu de L’Irlande, cela évidemment n’a fait que stimuler ma curiosité, et j’attend avec impatience la moindre données qui pourra m’éclairer sur ce fabuleux pays et sur cette fameuse nation qu’est « The Irish Republic ».

3 septembre 2007

Interlude

Aux grandes voiles désespoir

Le voyage est si long,

et ma vie si courte.

La terre est si grande,

et mes voiles si lourdes.

Ainsi Cinq ans

C’était écoulé

Et même en comptant

Je ne serai les trouver

***

Fend les océans, et brise les courants

A ton détriment.

Brise le vent, et fend la mer

Vers ton propre éther.

***

Deux ans de ça

Tu t’était marié

Je n’ose même pas

Y repenser.

Aurais je un jour

Le courage d’aller

Et sans détour

Te retrouver.

***

Fend les océans, et brise les courants

A ton détriment.

Brise le vent, et fend la mer

Vers ton propre éther.

***

Un jour notre dame, nous lançâmes

Un défi perdu…

Apres le temps, nous courâmes

Sans de bonnes augures.

Aux grande voiles de nos espoirs

Nous nous égarèrent.

Une fois de plus, le défi perdu

Nous nous renderent…à dame la mer…

***

Fend les ocean, et brise les courants

A ton detriment.

Brise le vent, et fend la mer

Vers ton propre ether.

Vers ta propre mer.

3 septembre 2007

De l'aperçu d'un autre monde

L’Irlande me semble être un enfant qui fût séparé de sa mère l’Europe, il y flotte un mélancolique parfum qui semble donnée à cet île une intemporalité enchanteresse. D’après moi le temps semble jouer un rôle remarquable, sujet à de nombreuses variations, pluie soleil etc…il donne un coté légendaire et insaisissable au sud de cet île. La mer est d’un bleu profond tel que même le plus blancs et immaculés voiliers semblent se perdre dans l’immense infinie qu’est l’Atlantique. La cote d’un gris granite semble se dresser depuis des temps immémoriaux et d’un autre age, que nous ma chère ne pouvons même pas concevoir.

Alors que notre avion semblable à un gros goéland malade se prépare à atterrir je découvre la terre de cocagne que je ne pouvait qu’apercevoir de mon étroit perchoir. Celle-ci semble avoir était remuée par un vaste cataclysme, elle n’est que collines incessantes ou vont paître d’innombrables moutons à perte de vue.

L’avion se pose et je ne voit guère plus que ce qu’il m’a était donné d’apercevoir, et me demande si tout ce que je t’ai décrit n’est pas fruits de mon imagination, mais là réside le charme de l’Ireland cela semble un rêve.

Mais rapidement d’autres pensées m’envahissent, formulaires administratifs bien sûr mais aussi questions existentielles relative à ma famille, comment seront-ils ? Question que se posent chaque étudiants-voyageurs lorsque ceux-ci franchissent le seuil du tant redouté «custom », le visage anxieux et les mains moites, il s’élancent tel des soldats d’une tranchée vers un champ de bataille où chacun redoutent de souffrir de milles morts, ce qui s’avère nous le verrons plus tard fort mélodramatique comme description.

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De Tir na mog à L’Irlande.
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